Comment j’ai pris goût à la fessée

Catégories : Hommes fessés
il y a 6 ans

Je ne l’avais pas entendue entrer dans mon bureau, s’approchant à pas feutrés derrière mon dos, tandis que j’admirais des photos de superbes croupes féminines à la nudité affriolante sur le site que vous savez. J’étais tellement absorbé dans ma contemplation !

En réalisant ce qu’elle avait pu voir sur mon écran sans un mot, j’ai dû rougir jusqu’aux oreilles d’appréhension, puis j’ai espéré qu’elle n’y avait peut-être pas prêté attention.

Peu après, je l’ai entendue téléphoner au 1er étage et j’ai commencé à m’inquiéter car elle téléphone rarement sans m’en parler auparavant, ou même, le plus souvent elle me charge de le faire, car elle n’a jamais pris l’habitude de manipuler ces sortes d’appareils. La communication a duré un certain temps, mais je n’ai pas osé écouter. Puis je n’ai plus rien entendu.

Je passai un moment à craindre qu’elle ne revienne me parler de ma vilaine curiosité, mais je finis par oublier, ou plutôt tenter d’oublier, l’incident qui n’en était peut-être pas un. Il faut préciser que mon épouse est d’un esprit très strict. Elle déteste aborder les sujets scabreux, surtout s’il est question de sexe. D’ailleurs, nous faisons chambre à part, non pas à cause d’une quelconque mésentente, mais pour une simple question de confort. On dort mieux chacun de son côté !

Néanmoins, je regrette de ne plus la voir se déshabiller chaque soir, comme jadis, quand je pouvais, l’air de rien, les yeux mi-clos, l’admirer sans voile, un laps de temps hélas très court, avant que sa longue chemise de nuit ne me la dissimule presque totalement. Les câlins sont donc passés aux oubliettes, d’où mes visites fréquentes aux sites un peu légers.

A midi, au moment du déjeuner, pas une remarque de sa part. La conversation se limita aux banalités habituelles.

L’après-midi, je sortis en ville pour marcher un peu. Je sentais la nécessité de m’éloigner à de cette atmosphère pesante ou du moins l’impression que me laissait l’incident du matin.

Le reste de la semaine s’écoula sans la moindre allusion de mon épouse. Mon appréhension finit par disparaître. Le samedi matin, sans m’en donner la raison, elle m’annonça que nous étions attendus dans l’après-midi chez la plus jeune de mes belles-sœurs (vingt ans de moins que moi), une jeune femme aux idées modernes qui ne s’encombre en famille que d’un minimum de scrupules. Je savais qu’elle me respectait, du moins jusqu’à ce jour…!

En arrivant, je sens immédiatement qu’il y a de l’orage dans l’air, et je sens renaître mon inquiétude. Pourquoi cette invitation mystérieuse? Suivant mon intuition, je n’ose pas le demander de peur de m’entendre répondre de sa voix claquante comme une gifle :

« Tu le verras bientôt ! »

Dans la cour de la ferme, plusieurs voitures sont déjà garées. Curieusement, de nombreuses chaises sont disposées en rangées comme pour un spectacle, ce dont je m’étonne car en face il n’y a ni écran, ni télé, juste une chaise haute, un tabouret de bar.

Je m’étonne, mais on me répond :

« C’est une surprise, patience, tu le verras bien assez tôt ! »

Enfin d’autres membres de la famille arrivent, quelques amis et aussi des voisins. Nous nous asseyons sur les chaises alors que tout ce monde semble ignorer le programme des festivités promises. L’ambiance est plutôt gaie.

Notre hôtesse distribue des timbales et des bouteilles de jus de fruit circulent… Les conversations chuchotées créent un bruit de fond monotone, un peu comme à l’église avant le début de l’office. Bientôt, ma jeune belle-sœur se place devant l’assemblée et déclare sans ambages, un sourire aux lèvres :

« Vous savez pratiquement tous pourquoi nous sommes réunis ici aujourd’hui… Il s’agit de guérir l’un de nous de sa tendance à… admirer des filles nues sur son ordinateur… Sa femme considère que cette déplorable curiosité a l’allure d’un véritable adultère, ce que j’approuve totalement. Je le répète : un ADULTÈRE ! Et cela mérite réparation. Le coupable doit se repentir de cette exécrable habitude et nous devons le guérir à jamais de l’envie de recommencer. En outre, il faut faire un exemple, montrer à quoi s’exposent ceux qui se laisseraient aller à de telles pratiques, qu’elles soient réelles, imaginées, ou même rêvées… qu’ils comprennent ce qu’il en coûte ! »

Et, se tournant vers moi, elle précise en me regardant les yeux brillants :

« Je vais d’abord te bander les yeux, tu ne dois pas pouvoir deviner ceux et celles qui t‘approcheront. Ainsi tu l’ignoreras toujours. Tu n’entendras que ma voix. Moi, je ne te toucherai sans doute pas… tu resteras aussi dans l‘ignorance à ce sujet. »

Je déglutis péniblement. Il me faut plusieurs millisecondes pour digérer l’indicible. Il s’agit bien de moi et je suis désormais seul sous les feux de la rampe. Muet et paralysé de saisissement et de crainte, je cherche ma femme des yeux. Je la vois qui parle à mi-voix avec son frère, jetant parfois un bref regard dans ma direction. Puis un épais bandeau est fixé sur mes yeux masquant ma vue. Je ne me défends pas davantage tandis qu’on m’attache les mains et les pieds sans trop serrer les liens. Quelqu’un m’aide à me lever de ma chaise. Entre mes pieds la corde est lâche et je parviens, mais difficilement, à me déplacer sans tomber. On me fait asseoir sur un tabouret, et ma belle-sœur me demande d’attendre.

« On va, dit-elle, lire l’acte d’accusation. Il est très bref, assure-t-elle, puis la sentence sera prononcée… Tu es accusé d’avoir, en toute connaissance de cause, observé longuement des femmes nues, exposées dans des poses suggestives, lascives, voire particulièrement scabreuses. Certaines scènes représentaient même des femmes qui se faisaient fesser ou fouetter sur leurs postérieurs nus et qui semblaient y prendre grand plaisir. Ces faits constituent par là-même un adultère caractérisé. Le tribunal que nous avons constitué décide à l’unanimité de te condamner à être à ton tour publiquement fessé, avec comme pénitence supplémentaire que tu ignores qui te fesse, et qui ne te touche pas. Certains pourront te fesser à plusieurs reprises, d’autres pourront joindre leurs efforts pour alterner les claques. Tu seras exposé, fesses entièrement nues, sur la table que nous venons d’apporter. Par compassion, nous avons disposé quelques couvertures sur le bord pour protéger ton ventre nu du contact rude du bois. As-tu des questions ?… »

Sans même me laisser le temps d’ouvrir la bouche, ma belle-sœur conclut :

« Bien, puisque l’accusé désire rester muet, nous déclarons la sentence immédiatement exécutoire ! »

Malgré ma frayeur, je tente de protester, mais on m’empoigne en me disant qu’il est trop tard.

C’est alors que je sens des mains me libérer de mes entraves, dégrafer ma ceinture et faire glisser mon pantalon jusqu’à terre. Je suis obligé moi-même d’ôter chaussures et chaussettes et de retirer complètement le pantalon. Puis on me place un bâillon sur la bouche avant de me pousser contre la table. Mon slip protège encore ma pudeur, peut-être va-t-on me le laisser ?… Je respire un peu…

On me pousse fortement dans le dos jusqu’à ce que mon buste soit allongé sur le plateau de la table, puis on me force à étendre mes bras et des mains fines et douces (une de mes belles sœurs ?) ligotent chacun de mes poignets aux pieds de table de façon à m’immobiliser à plat ventre…

Enfin, ce que je redoute s’accomplit. Quatre mains agrippent l’élastique de mon slip … je le sens glisser doucement autour de mes fesses, puis le long de mes cuisses, mais sans musarder. Bientôt, avec le contact de l’air frais de cette après-midi automnale, je devine les regards intéressés, peut-être méprisants, des spectateurs et spectatrices qui peuvent détailler pour la première fois ce qu’on m’a appris depuis mon plus jeune âge à cacher en toutes occasions.

On me débarrasse du slip et mes chevilles sont à leur tour attachées aux pieds de la table. Nu de la taille aux pieds, je me retrouve dans une humiliante posture, jambes écartées, tandis que la maîtresse de cérémonie proclame que le condamné étant en position correcte pour sa fessée, le châtiment pouvait commencer.

On s’écarte de moi. Je présume, aux conciliabules murmurés, que l’on désigne qui commencera. Il est probable que chacun d’eux (sauf moi !) savoure la lenteur de cette phase finale, attendue par tous comme un dessert… Bientôt, une voie féminine déclare dans mon dos :

« Tu sais que tu es beau vu d’ici ? J’ai une vue imprenable sur quelque chose de suspendu qui me rappelle une charcuterie … ! Mais tes fesses sont bien trop pâles, il va falloir remédier à cette anomalie. »

Soudain, des claques d’une force inouïe commencent à déferler… presque données avec méchanceté. Mais peu après, elles se font moins rapides, moins appuyées, et finissent par ressembler presque à des caresses. Je ressens alors un frisson sensuel qui parcourt tout mon être pour s’épanouir au creux de mes reins…

Quelle douce sensation !… Impossible de reconnaître à quel sexe appartient cette main, mais les claques reprennent de la vigueur et la douleur devient vite insoutenable. Je tente de crier sous le bâillon qui étouffe les sons. Enfin mon fesseur ou ma fesseuse s’arrête, et je devine qu’une autre main prend le relais… Les claques rebondissent sur mes fesses. La cuisson, toujours aussi vive, n’empêche pas mon esprit de vagabonder et, malgré les larmes qui commencent à brûler mes yeux, j’imagine le panorama que j’étale sous les yeux de chacun.

Heureusement tout a une fin, et je sursaute lorsque je sens de l’eau très fraîche couler sur ma peau nue. Combien de temps dura la correction ? Peu importe, car la brûlure domine bientôt tout autre sentiment.

« On va te laisser te reprendre, dans cinq minutes tu seras libre et tu pourras alors renfiler ton pantalon. »

En effet, après un temps d’exposition de mes fesses endolories et sans doute rougies, temps qui me parut fort long et durant lequel je saisissais seulement des bribes de conversation, je fus libéré et l’on m’ôta le bandeau des yeux. Un instant ébloui, je pus distinguer, parmi les visages souriants, celui de mon épouse arborant un sourire à la fois radieux et satisfait.

Je dus cuver ma honte sous l’avalanche des regards avant que mon épouse ne se décide à me ramener à la maison où je m’allongeai sur mon lit, sans pantalon, incapable de m’asseoir tant les fesses me cuisaient.

Qui m’avait fessé ?… Tous s’étaient donné le mot pour taire ce détail. Mais tous m’avaient vu et avait pu scruter les parties les plus intimes de mon anatomie. Pourrais-je à l’avenir affronter à nouveau leurs regards ?

A partir ce jour-là, je pris la résolution de m’abstenir de surfer sur ce genre de sites sans aucune précaution ! A ce régime sec je ne tins pas plus d’un mois et me fis surprendre de nouveau par mon épouse. Cette fois, c’est sa propre main qui se chargea de m’infliger une nouvelle cure d’abstinence !

Et je dois avouer que j’ai fini par y prendre goût !… Un goût de renouveau des sens, en quelque sorte !

Elmarre

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